Théo Caviezel (né en 1997)

   Théo est né à Langres en 1997. Après une première partie de scolarité langroise, il part dans le Jura assouvir sa passion pour le cheval en passant un Bac professionnel. L’appétence pour des projets entrepreneuriaux ont finalement raison de sa carrière de cavalier, et c’est avec un média équestre et une agence de communication dédiée aux sportifs de haut niveau –respectivement créés à l’âge de quatorze et seize ans – qu’il poursuit ses études en communication et gestion d’entreprise. Trois années d’études supérieures passées, entre Langres, Troyes et Lyon, Théo s’envole pour un tour du globe en solitaire, axé principalement sur l’Asie, avant de revenir pour sa dernière année d’études à Bordeaux.
   Après le premier confinement qu’il passe dans sa totalité en Haute-Marne, durant lequel son média équestre prend une ampleur inattendue, Théo vend le projet à un investisseur belge, avec qui il travaille encore pendant un an à la suite de cette acquisition. Il se consacre depuis pleinement à son engagement pour la Haute-Marne et se présente aux élections législatives de juin 2022 dans la première circonscription du département. En 2023, il intègre le Collège citoyen de France, école d’excellence qui identifie et prépare les responsables publics de demain.

Présentation des ouvrages de Théo CAVIEZEL :

Le tour du monde de la Haute-Marne (autoédition, 2022 – Carnet de voyage écrit par Théo Caviezel et Johann Legrand)

   Ce livre retrace le périple de Théo et Johann autour de leur propre monde, la Haute-Marne, département qu’ils ont parcouru à vélo durant un mois (1 200 kilomètres). Il dépeint en filigrane la vie quotidienne des territoires ruraux, loin de tout à première vue, mais ô combien vivants, et relate leurs rencontres avec des centaines de personnes, toutes plus attachantes les unes que les autres. Une vingtaine d’illustrations de l’artiste Boris Beluche ponctue ce récit.

Plus de renseignements sur Le Tour du Monde de la haute-Marne

Pour aller sur la page de Johann Legrand

Pierre Sala, éditions Hors Champ, 2023 – Monographie écrite par Ivan Mietton, sur une idée originale de Théo Caviezel et Pierrick Lonjou

   Célébré par le musée des Arts décoratifs, à Paris, comme l’un des designers les plus talentueux des années 1980, Pierre Sala se distingue d’abord de ses confrères et consœurs par sa formation. On chercherait en vain, dans son cursus, tout passage par l’étude de l’architecture, des arts décoratifs ou du dessin. Contre toute attente, Sala est arrivé au mobilier et à sa création par le théâtre. Metteur en scène à la fin des années 1960, puis directeur de théâtre à partir de 1973, cet homme discret, passionné par la sémiologie gestuelle, fait irruption dans l’univers du design tel un deus ex machina. De son approche résolument différente jaillit un mobilier qu’on croirait échappé d’un rêve, comme une ode au spectacle et au plaisir de l’imaginaire. Ludiques, ses œuvres ont su charmer les amateurs des années 1980 et intéresser les marchands d’art. Cette trajectoire surprenante est interrompue brutalement en 1989. Pierre Sala décède à l’âge de 41 ans des suites du sida. De son parcours atypique et attachant ne nous reste qu’un petit nombre d’œuvres et le témoignage, aussi, de ceux qui ont eu l’heur de travailler avec lui. Ce livre – le premier consacré à Sala – a pour vocation de retracer le cheminement de cet artiste iconoclaste et de mettre en lumière les mécanismes mis en œuvre dans ses créations, tant au théâtre que dans le domaine du design.

On y sera un jour, mon grand, Actes Sud, 2022
Biographie écrite par Jean-Maurice Bonneau, en collaboration avec Théo Caviezel

   Jean-Maurice Bonneau est l’un des plus grands entraîneurs mondiaux de jumping. Dans ses Mémoires, il raconte le parcours qui l’a conduit, lui, le fils de modestes agriculteurs vendéens, du CAP de peintre en bâtiment aux plus beaux titres. Groom, puis cavalier, enseignant, entraîneur national, coach de haut niveau, il fait voyager le lecteur à travers près d’un demi-siècle d’histoire des sports équestres, des petits concours de campagne aux Jeux olympiques, de Jerez à Londres, du Japon au Brésil, et le transporte dans un récit vif qui se dévore comme un bon roman. Il lui fait vivre de l’intérieur les victoires, lui permet d’entrer dans l’intimité d’une équipe, de côtoyer, en quelque sorte, les meilleurs. Il relate avec pudeur et franchise à la fois les coups durs et les moments de joie, fait partager les rires et
les larmes.